La Loi Censi Bouvard

Tous les conseils pour investir en Loi Censi-Bouvard 2024

La loi Censi-Bouvard a pris fin le 31 décembre 2023. Cette loi permettait aux contribuables français qui réalisent un investissement immobilier dans le neuf en résidence meublée de réduire directement leur impôt d'un pourcentage du prix de revient de l'appartement et de récupérer la TVA sur le montant de l'investissement.
Il complétait le statut du Loueur en Meublé Non Professionnel qui utilise le principe de l'amortissement pour générer des revenus défiscalisés.
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Les refus de prêt augmentent

Le nombre de dossiers de prêt rejetés est en hausse ces derniers mois :  septembre et octobre. La raison n’est pas les taux immobiliers ne sont pas en cause, car ils restent encore à des niveaux très bas. Le ralentissement du nombre de crédits accordés pourrait s’expliquer par le reconfinement et  la dégradation de la situation économique de certaines catégories d’emprunteurs.

Les refus de prêt augmentent : ils dépassent les 10%


Selon les courtiers, les refus de prêt augmentent ces derniers mois. Le courtier Cafpi, enregistre un taux de refus de 10% en 2019 contre 14% en 2020. la part des dossiers qui n’obtiennent pas de financement augmente selon Philippe Taboret, directeur général adjoint de Cafpi par le « durcissement des conditions d’accès au crédit par le HCSF » .En effet, le HCSF a demandé aux banques de respecter le taux maximum d’endettement des ménages de 33% et de ne plus accorder de crédits immobiliers au-delà d’une durée de 25 ans. 
             

Les refus de prêt augmentent : l’importante du montant de l’apport


Selon Cafpi, le taux d’apport moyen des emprunteurs a augmenté entre le 3e trimestre 2019 et le 3e trimestre 2020, passant de 10,8% à 12,1% pour les primo-accédants, de 14,3% à 16,2% pour les autres accédants et de 6,8% à 8,1% pour les investisseurs.
« Les banques, en suivant à la lettre les recommandations du HCSF, demandent des apports plus importants avec, pour conséquence principale, l’exclusion de nombreux primo-accédants solvables qui n’ont pas suffisamment d’épargne », d’après Philippe Taboret.